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FRANÇOIS RIBOT, Bachelor Réalisateur Monteur

20 ans, Cadreur, Paris

1.Peux-tu te présenter (Nom, Prénom, Age)

 

Je suis François Ribot, j’ai 20 ans, et je suis cadreur-monteur en entreprise à Paris.
 

2.Peux-tu nous décrire ton parcours scolaire et comment tu as choisi d'étudier le Bachelor Réalisateur Monteur ?

 

Alors quand j’étais au collège je suis vite aller vers la musique, avec une école à horaire aménager chant piano études, et j’ai découvert le cinéma dans ce cadre-là. On regardait beaucoup de films, et ça m’attirais tellement. J’ai fait un lycée général plutôt littéraire / philo, et j’étais vraiment sûr de moi, je voulais aller dans le cinéma. J’ai beaucoup cherché pour trouver l’école où je pourrais apprendre, pratiquer au maximum, et surtout avec de petits effectifs, et des profs intervenants. Et ACFA Multimédia est vite ressorti sur l’Étudiant.
 

3. Quels ont été les aspects les plus enrichissants de ton Bachelor Réalisateur Monteur ?
 

J’ai vraiment adoré apprendre par la pratique. Au début, c’est perturbant parce que pour le premier projet, on a un peu l’impression d’être lâché dans la nature. Mais je me suis vite rendu compte que c’était pour arriver à comprendre concrètement ce qu’il fallait anticiper, à la fois en pré production, en production, et en post-production. C'est quand on se confronte vraiment à un problème qu’on peut l’anticiper la fois d’après et l’éviter. Et c’était exactement ça. J’aimais bien passer du temps à revisionner mes projets avec les professeurs, afin de voir avec eux et avoir leurs idées sur comment je pouvais mieux me servir du matériel.
Donc je pense le contact avec les profs.

4. Quelles compétences spécifiques as-tu acquises au cours de ton programme d'études en réalisateur monteur ?
 

Avec l’école, c’était un cursus vraiment général ou on faisait de tout, de la production, de la théorie, du montage, du cadrage, de la réalisation, de l’analyse, et je pense que le but de la formation c’est d’arriver à comprendre ce qu’on préfère, et là où j’ai l’impression d’avoir le plus trouver ma place, c’est finalement plutôt en tant que cadreur monteur, et plus tellement réalisateur. Je ne sais même pas si j’ai tellement envie de devenir réalisateur un jour d’ailleurs ! Mais je pense quand même que la compétence principale que l’école nous apporte, c’est la capacité à répondre au problème de façon « débrouillarde ». Je pense sincèrement que ACFA Multimédia nous pousse au maximum en ce sens. 

5. En tant que jeune cadreur, quel est ton film préféré et pourquoi ?
 

C’est difficile de citer un film, il y a tellement d’œuvres, mais j’ai pris une réelle claque récemment avec « En attendant Bojangles » de Roinsard, notamment pour l’incroyable incarnation de la folie, en particulier celle de Virginie Efira. Tout est beau : la musique, l’image, le jeu, les dialogue, la naïveté qui transperce la folie, ou bien l’inverse…c’était si beau comme instant.

6. Peux-tu nous parler d'un projet sur lequel tu as travaillé pendant tes études et de ce que tu as appris de cette expérience ?
 

Le projet qui m’a le plus appris durant les études, c’était sûrement le projet de court métrage en fin de première année. C’est stressant et difficile de tout mettre en place pour raconter une histoire, mais c’était fou. J’ai fait beaucoup d’erreur, notamment sur le plan technique, et ça m’a permis de tellement mieux anticiper les choses pour les fois d’après. Prévoir plus de personnes pour la technique, BIEN mieux paramétrer ma caméra, mieux préparer ma session de montage. Et d’un autre côté, c’était la première fois que je pouvais, par moi-même, raconter une histoire par l’audiovisuel.

7. Comment ACFA Multimédia t'a-t-il soutenu dans ton développement professionnel en tant que réalisateur monteur ?
 

L'École a été un soutien essentiel grâce à la présence active de professeurs qui sont des experts dans leur domaine.

8. As-tu une anecdote drôle sur tes 2 ans à ACFA Multimédia à nous raconter ?
 

Franchement j’ai eu tellement de fou rire à ACFA Multimédia que je serais incapable d’en ressortir uniquement un.

9. As-tu eu des opportunités de stage ou d'apprentissage pratique pendant ta formation en réalisateur monteur ? Et comment cela a-t-il enrichi ton expérience d'apprentissage ?
 

Oui j’ai fait des stages, le premier sur le tournage d’une mini-série réalisée en collaboration avec certains élèves de ACFA Multimédia Paris et l’école des Cours Mesguiche (l’école fondé par Daniel Mesguiche), et c’était fou ! J’étais cadreur dessus.

Et le deuxième, c’était un stage avec Frédéric Carpentier pour le CNC. Il réalisait un film pour le programme « Les enfants des Lumières » du CNC, et m’a demandé de monter le Making-of. J’avais un peu peur parce que c’était un autre niveau le CNC, mais il m’a accompagné de À à Z, me faisait des retours à chacune des versions. Le film et le Making of ont été diffusé au Cinéma du Forum des Images, et j’avoue que ça me faisait vraiment quelque chose de fou de voir un projet que l’on a monté dans une si grande salle !

10.Quels conseils donnerais-tu aux étudiants intéressés par une carrière en réalisation et montage, en particulier ceux envisageant de suivre un programme de Bachelor dans ce domaine ?
 

Je ne suis personne pour donner des conseils, mais je pense quand même que ça vaut le coup de se servir au maximum des ressources de l’école. Emprunter au maximum du matériel, faire un maximum de projets, travailler avec les élèves de sa promotion, de créer des affinités artistiques avec quelques personnes de la promotion.

11. Comment s’est passé ton insertion professionnelle une fois diplômé ? As-tu eu du mal à trouver du travail ? et pourquoi ?

 

Franchement j’ai eu énormément de chance à la sortie des études. J’ai trouvé un travail en tant que cadreur-monteur dans une entreprise à Paris, la connexion a été tellement naturelle et rapide. J’ai dû passer un petit mois à rechercher avant de trouver ! Et je m’y plais vraiment beaucoup !

 

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